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02 Novembre 2013
Samedi fin de la première boucle : Loeb gère ! 

Le nonuple champion du monde est en train de prendre beaucoup d'avance. Le reste de la meute se livre une bataille à coup de secondes.

ES 6 : Loeb encore et encore. Cette fois Xavier Bouche était pourtant tout proche. « On n’avait pas opté pour le meilleur choix de pneus après la demi-boucle, explique le pilote de la C4. On est tout le temps sur des oeufs. C’est vraiment difficile de se mettre en confiance.»  

 

Bertrand Grooten perd plus de deux minutes après être resté bloqué dans un champ. « On a été surpris au moment du freinage avant un virage à gauche: nous sommes restés deux minutes dans le champ. Merci aux spectateurs qui nous ont sortis de là. Sans eux, le rallye serait déjà terminé pour nous.» 

 

ES 7: 


Sébastien Loeb signe un nouveau scratch. Bertrand Grooten se reprend bien après son erreur en signant le deuxième temps à 1’’ de Loeb. Xavier Bouche est dans la même seconde. Cherain et Van Woensel sont plus en retrait, à 8 secondes. 

 

ES 8 :

 

Dominique Jullien s’est occasionné une belle frayeur peu après le «jump» de Villers. « On est sorti un peu large après le passage sous le pont de l’autoroute et on est parti dans le talus visiter quelques buissons, mais heureusement, plus de peur que de mal.»

 

Dans cette spéciale, «Maitre Sébastien» continue de survoler la compétition. Derrière lui, la bataille fait rage. Cédric Cherain, Xavier Bouche, Dominique Jullien et Chris Van Woensel sont tous en mesure de monter sur le podium.

 

ES 9: 

La pluie refait son apparition. Sur cette nouvelle spéciale, Loeb continue à dégoûter la concurrence. À coup d’une seconde par kilomètre, l’Alsacien a porté son avance sur Cédric Cherain à plus d’une minute. La C4 de Xavier Bouche pointe au troisième rang à 1’’38. Ce dernier est talonné par Dominique Jullien à 10’’. Le Hutois possède 16’’ sur un Chris Van Woensel en mode «défensif».

« On ne prend aucun risque. On est à peine à 60% des capacités de la voiture. Cependant, le rallye est long. Tout peut encore se passer. On ne perd pas le podium de vue.»

 
 
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